Extrait du Livre de Maud Kristen "Ma vie et l'Invisible"
Ce qui nous arrive n'est que l'écho de nous même. Et que serions nous ? Peut être seulement la somme de nos mémoires émotionnelles, de nos pensées, de nos paroles et des conséquences passées et présentes de nos actes. L'ensemble de ces paramètres, loin d'être définitif, est constamment modifié et brassé par de nouvelles données, un peu comme notre vie cellulaire. A chaque seconde nous perdons des cellules, et d'autres naissent en modifiant l'ensemble de notre corps qui se régénère grâce à ce que nous mangeons et à l'air que nous respirons. C'est un peu comme si la même chose se produisait sur le plan psychologique et spirituel : la compréhension de nos erreurs, nos prises de conscience morale, le dépassement de nos traumatismes influent considérablement sur notre futur, quand bien même certaines de nos pensées et de nos actions passées produiraient encore un écho sur celui-ci - comme nos excès alimentaires passés peuvent nuire aujourd'hui à notre santé.
Chaque être vivant génèrerait une sorte de "fréquence" à laquelle "répondraient" des évènements. Ce qui "m'arrive" n'"arriverait" ni par hasard ni par la volonté de Dieu, nous en serions intégralement les CREATEURS. Mais tel un savant fou, inconscient de la portée de nos actes, notre ignorance et notre imprudence nous plongeraient dans d'éternelles difficultés. De même que la fleur attire l'abeille naturellement, sans l'avoir voulu et en ignorant tout de la transformation de son pollen en miel nous nous plaçons dans des situations existentielles qui sont fondamentalement les nôtres sans que nous ayions conscience - et qui entrainent certaines conséquences que nos supportons plus ou moins bien, incapables de faire le lien entre ce que nous sommes et ce que nous avons produit. Nos qualités, nos richesses, nos intentions et nos désirs - c'est tout cela qui crée les évènements qui nous "arrivent".
Et contrairement à la fleur, qui ne pourra jamais devenir un oiseau ni attirer autre chose qu'une abeille, nous pouvons transformer le cours de notre vie en nous transformant. Loin d'être absurde, la vie est emplie de sens, même si le décryptage nécessite un décodeur, même si son intelligence s'exprime d'une manière agaçante, complexe, indirecte et nous fait dire que nous n'avons "pas de chance" lorsqu'elle nous sanctionne. Ses punitions sont des messages. A nous d'accepter le dialogue avec elle.
Ensuite Maud Kristen fait un lien avec les "champs morphiques" décrits par Rupert Sheldrake.
Sans en avoir conscience, nous transportons avec nous d'invisibles contenus d'informations que nous envoyons dans l'univers, et auxquels l'univers répond. Nous savons que l'abeille est une réponse au pollen et que le pollen est une réponse à l'abeille. Mais qui attire qui ? Qui prends l'initiative de la danse, dans le bal des correspondances ? Il est impossible de le dire. Nous pouvons seulement constater l'existence d'un phénomène d'attractions. Le même phénomène se produit entre nous et l'univers, et c'est lui qui fabrique la partie visible de nos vies : les évènements qui écrivent progressivement notre histoire. Notre liberté, au fond, n'existe qu'à proportion de notre conscience de nous mêmes et des mécanismes que nous engendrons. A chaque seconde par le truchement de notre vie émotionnelle, de nos peurs, de nos désirs, de notre sensibilité, de nos idées, de notre éducation, de notre environnement, nous émettons des informations non sensorielles qui composent une sorte de "codes-barres" - notre code barres, le code-barres de ce que nous sommes.
Ce qui nous arrive n'est que l'écho de nous même. Et que serions nous ? Peut être seulement la somme de nos mémoires émotionnelles, de nos pensées, de nos paroles et des conséquences passées et présentes de nos actes. L'ensemble de ces paramètres, loin d'être définitif, est constamment modifié et brassé par de nouvelles données, un peu comme notre vie cellulaire. A chaque seconde nous perdons des cellules, et d'autres naissent en modifiant l'ensemble de notre corps qui se régénère grâce à ce que nous mangeons et à l'air que nous respirons. C'est un peu comme si la même chose se produisait sur le plan psychologique et spirituel : la compréhension de nos erreurs, nos prises de conscience morale, le dépassement de nos traumatismes influent considérablement sur notre futur, quand bien même certaines de nos pensées et de nos actions passées produiraient encore un écho sur celui-ci - comme nos excès alimentaires passés peuvent nuire aujourd'hui à notre santé.
Chaque être vivant génèrerait une sorte de "fréquence" à laquelle "répondraient" des évènements. Ce qui "m'arrive" n'"arriverait" ni par hasard ni par la volonté de Dieu, nous en serions intégralement les CREATEURS. Mais tel un savant fou, inconscient de la portée de nos actes, notre ignorance et notre imprudence nous plongeraient dans d'éternelles difficultés. De même que la fleur attire l'abeille naturellement, sans l'avoir voulu et en ignorant tout de la transformation de son pollen en miel nous nous plaçons dans des situations existentielles qui sont fondamentalement les nôtres sans que nous ayions conscience - et qui entrainent certaines conséquences que nos supportons plus ou moins bien, incapables de faire le lien entre ce que nous sommes et ce que nous avons produit. Nos qualités, nos richesses, nos intentions et nos désirs - c'est tout cela qui crée les évènements qui nous "arrivent".
Et contrairement à la fleur, qui ne pourra jamais devenir un oiseau ni attirer autre chose qu'une abeille, nous pouvons transformer le cours de notre vie en nous transformant. Loin d'être absurde, la vie est emplie de sens, même si le décryptage nécessite un décodeur, même si son intelligence s'exprime d'une manière agaçante, complexe, indirecte et nous fait dire que nous n'avons "pas de chance" lorsqu'elle nous sanctionne. Ses punitions sont des messages. A nous d'accepter le dialogue avec elle.
Ensuite Maud Kristen fait un lien avec les "champs morphiques" décrits par Rupert Sheldrake.
Sans en avoir conscience, nous transportons avec nous d'invisibles contenus d'informations que nous envoyons dans l'univers, et auxquels l'univers répond. Nous savons que l'abeille est une réponse au pollen et que le pollen est une réponse à l'abeille. Mais qui attire qui ? Qui prends l'initiative de la danse, dans le bal des correspondances ? Il est impossible de le dire. Nous pouvons seulement constater l'existence d'un phénomène d'attractions. Le même phénomène se produit entre nous et l'univers, et c'est lui qui fabrique la partie visible de nos vies : les évènements qui écrivent progressivement notre histoire. Notre liberté, au fond, n'existe qu'à proportion de notre conscience de nous mêmes et des mécanismes que nous engendrons. A chaque seconde par le truchement de notre vie émotionnelle, de nos peurs, de nos désirs, de notre sensibilité, de nos idées, de notre éducation, de notre environnement, nous émettons des informations non sensorielles qui composent une sorte de "codes-barres" - notre code barres, le code-barres de ce que nous sommes.
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