mercredi 26 juin 2013

Living Matrix, Documentaire sur la Médecine du Futur


Le lien pour voir ce film Living Matrix présenté sur ce blog  le 11 janvier 2012 n'est plus bon, le site a supprimé la page. J'en profite pour publier ces deux articles à son sujet et publier ce documentaire via You tube pour Intuition and Co, pour ceux qui l'ont manqué, 
1 - La médecine du futur sera t'elle informationnelle, par Jackie lapin 
2 - Présentation de Living Matrix par Interobjectif.net
3 - Living Matrix, le Documentaire
4 - A lire aussi sur cette thématique


La médecine du futur sera t'elle informationnelle ? 

Ecrit par Jackie Lapin 




Une nouvelle conception de la médecine et de la thérapie est en train de naitre dans les laboratoires des scientifiques, une thérapie capable de déclencher le processus d'autoguérison de nos cellules.

Loin de la conception cartésienne de l'être humain, des scientifiques sont en train de prouver l'existence de champs énergétiques liant le corps, l'esprit et l'environnement. Le documentaire The Living Matrix évoque ces pistes de recherches qui bouleversent nos conceptions traditionnelles. Si le film juxtapose parfois les témoignages et les découvertes scientifiques sans démontrer leur lien logique, il esquisse aussi le portrait prometteur d'une médecine d'avenir.Serions-nous à l'aube d'une révolution médicale ? Les avancées en matière de biophysique et de soins bioénergétiques sont en passe de changer fondamentalement notre conception de l'univers et de l'être humain.

Les peuples premiers et les cultures ancestrales ont toujours considéré l'univers comme un tout.
A la fin du 17ème siècle, les découvertes d'Isaac Newton et de René Descartes nous ont extraits de la trame de cet Univers, créant un modèle mécaniste où nous sommes tous séparés les uns des autres, et où l'esprit est séparé du corps. Un esprit réduit à un épiphénomène de la matière. Un corps sans pensée ni intériorité, qu'on voit comme une machine chimique à deux moteurs : le cerveau et le cœur, et qu'il suffit, en cas de défaillance, de rebooster avec la bonne substance chimique pour aller mieux. Il n'y a plus d'interconnexion entre les êtres vivants, et tout n'est plus qu'une histoire de suprématie de la matière, régie par des lois fixes. Cette idée réductionniste demeure le fondement de la pensée occidentale. Et notre médecine actuelle fonctionne encore sur cet ancien paradigme de la physique. Pourtant, aujourd'hui, des chercheurs en biophysique et biologie cellulaire vont vers une nouvelle compréhension de l'Univers, de l'Homme, du corps, de l'esprit et de la maladie, laissant entrevoir alors de nouvelles perspectives sur le plan médical.

Le documentaire The Living Matrix, réalisé en 2009, par Greg Becker, donne la parole à des chercheurs, des thérapeutes, une journaliste scientifique, Lynne Mc Taggart ou encore l'astrophysicien Edgar Mitchell, pour explorer les principes de la bioénergétique du champ corporel humain. Si, à sa sortie, ce film n'avait pas fait grand bruit, il devient aujourd'hui une référence pour tous ceux qui s'intéressent aux médecines alternatives. Un succès tardif qui coïncide avec une ouverture d'esprit récente du grand public, et symbolise une tendance à ne plus vouloir considérer la science comme une vérité immuable et absolue.

« A travers les siècles, explique le Dr Bruce Lipton, biologiste et généticien, nous nous sommes focalisés sur la réalité mécanique et avons abandonné le concept d'énergie et de champs dans la biologie. Mais on reconnaît maintenant que l'esprit est un champ énergétique de pensée que l'on peut lire avec les capteurs d'un électroencéphalogramme ou encore mieux, à l'aide d'un nouveau procédé de magnéto-encéphalographie, une sonde qui, bien qu'elle soit placée en dehors de la tête, peut lire les champs de l'activité nerveuse, sans même toucher le corps ». « La physique quantique tente de comprendre comment les cellules se parlent entre elles et comment elles gèrent l'information », explique Peter Fraser, chercheur en biophysique.

Le pouvoir de la pensée

D'après les scientifiques intervenant dans ce documentaire, tout est question d'interconnexions entre les champs énergétiques du corps et de l'esprit. Les pensées, qui possèdent une réelle énergie physique, iraient même jusqu'à créer le corps. Le mental, l'intention et les croyances seraient alors trois facteurs capables d'influencer la maladie ou la guérison.

 « Nous avons constaté en laboratoire que lorsque nous avons des pensées positives, nous envoyons des substances chimiques, explique Edgar Mitchell. Pareil pour les pensées négatives qui ont un effet significatif sur le comportement des cellules. »

Si je pense : « Je vais aller mieux », serai-je réellement capable de me soigner ?

« Un tiers des guérisons - incluant les médicaments, la chirurgie et autres interventions allopathiques - tient de l'effet placebo, répond Dr Bruce Lipton, c'est-à-dire au fait qu'une croyance puisse influencer la biologie d'une personne. Autrement dit, un tiers parvient à se guérir par la pensée positive, c'est fabuleux ! Pourtant, on en parle quinze minutes en cours de pharmacologie, et on continue d'ignorer le pouvoir de la pensée et des processus mentaux sur la biologie ! ».


Peut-il exister un transfert d'informations et d'énergies à distance, comme en sont capables certains guérisseurs qui agissent sur leurs patients dont ils sont pourtant séparés par des milliers de kilomètres ou encore des personnes proches qui se connaissent bien ? Après avoir effectué des études sur des couples dont l'un des partenaires souffrait d'un cancer, on a constaté une corrélation significative entre l'activité physiologique de celui qui envoyait des pensées d'amour et de compassion à distance et celle de l'autre qui, même à des centaines de kilomètres, et sans le savoir, réagissait instantanément. 

« Cela suggère qu'il y a un moyen par lequel l'information est transférée », assure Marilyn Schlitz, chercheuse et présidente de l'Institut des Sciences Noétiques. La physique quantique a découvert ce qu'on appelle le « champ du point zéro » ou l'énergie du vide. Un échange d'énergie entre les particules subatomiques composants de la matière de taille inférieure à celle d'un atome qui « en s'envoyant et en recevant de l'énergie créent, le temps d'un battement de paupière, des particules virtuelles, explique Lynne Mc Taggart. Ce petit échange ne représente pas beaucoup d'énergie, environ un demi-watt. Mais lorsqu'on additionne toutes les particules subatomiques qui font cet échange d'énergie à travers tous les éléments de l'Univers, on arrive à une quantité d'énergie inimaginable. Ce champ d'énergie géant, nous y sommes tous connectés, même aux plus lointains confins de l'univers. ».

Les biophotons, transmetteurs d'information à distance

Quel est le mécanisme de cette intercommunication ? Comment cette connexion se produit-elle ? La réponse la plus probable se trouverait dans les biophotons. En effet, notre corps émet constamment de la lumière sous forme de biophotons, de faibles émissions de lumière émanant des cellules de tous les êtres vivants. Les molécules ne pouvant s'autoréguler, elles ont besoin d'un champ. Ces biophotons pourraient être porteurs d'informations nécessaires à la régulation de notre métabolisme. Mais n'est-ce pas le rôle de l'ADN et de nos gènes ? 

« Les gènes ne contrôlent pas notre biologie, répond le Dr Bruce Lipton. Ils ne sont pas déterministes comme on le pensait jusqu'à il y a encore dix ans, mais subordonnés à un système d'informations « extérieures » se révélant être le produit de l'environnement dans lequel ils évoluent. D'après cette nouvelle compréhension de la biologie cellulaire, ils ne représenteraient désormais que des potentiels. L'être humain aurait donc beaucoup plus de pouvoir qu'il ne le pense sur sa propre biologie et, par conséquent, sur ses fonctions corporelles. Cela tendrait à prouver que nous ne sommes pas des "automates génétiques" victimes de l'hérédité biologique de nos ancêtres. Nous sommes, au contraire, les co-créateurs de notre vie et de notre biologie. Ce que j'appelle l'épigénétique. »

Alors qu'est-ce qui contrôle notre métabolisme ?

C'est ce que Rupert Sheldrake appelle les « champs morphogénétiques ». Ces champs seraient déterminants dans le comportement des êtres vivants qui hériteraient d'habitudes de l'espèce par « résonance morphique ». Pour le biologiste, chaque type de système naturel possède son propre type de champ. Il y a un champ pour le chêne, un champ pour l'hirondelle, un champ pour l'abeille, un champ pour le singe, un champ pour l'homme...

La médecine informationnelle : la médecine de demain ?

De nombreuses cultures par le passé ont exploré les systèmes énergétiques des êtres vivants. Aujourd'hui, les chercheurs émettent la théorie que le corps a bien des champs d'énergie connus sous le nom de champs morphogénétiques ou champs corporels. 

« Il existe une hiérarchie de champs organisant votre corps, explique Rupert Sheldrake. Il y a le champ du corps en entier, des organes, des tissus, des cellules. Le champ de notre corps est à l'intérieur et autour du corps. Il y a un champ global et des champs subsidiaires pour les bras, les jambes et les différents organes. Et ces champs sont intrinsèquement un tout. »

Si le système de contrôle du corps n'est pas régi par les gènes mais par l'information disponible dans notre champ corporel, la maladie n'est plus considérée comme faisant partie du patrimoine génétique. Elle est perçue une distorsion de l'information dans le champ corporel ; est-il alors possible d'intégrer de nouvelles informations dans ce corps pour générer du bien-être ? C'est ce qu'un certain nombre de chercheurs font. 

« Nous avons appris à stopper la distorsion de l'information qui se produit du fait de divers processus pathologiques, raconte le Dr Peter Fraser. Une fois qu'on a stoppé la distorsion, de façon assez surprenante, la physiologie se met à fonctionner correctement, de même que la chimie. Je peux vous raconter de merveilleux récits de guérisons juste parce qu'on a réussi à stopper la distorsion de l'information dans le champ corporel. »

« La médecine informationnelle qui utilise l’information et change celle qui est perturbée constitue la médecine du futur, affirme Lynne Mc Taggart. La maladie, d’une certaine façon, c’est de l’information brouillée. Si on a accès à la bonne information, on peut corriger le brouillage. C’est ce que font de nombreuses techniques énergétiques. » 

L’Occident serait-il bientôt prêt à rendre aux guérisseurs, magnétiseurs et autres énergéticiens leurs lettres de noblesse ? 


Source de l'article, pour la traduction en français.







*** Article complémentaire - Présentation de Living Matrix - 




Ce film est le premier documentaire présentant des chercheurs, journalistes scientifiques et praticiens de renommée internationale sur le thème des champs d’énergie et d’information dans le domaine de la santé.



Il révèle les dernières découvertes scientifiques qui remettent en question notre conception même de l’être humain et de son fonctionnement, et mettent en évidence l’influence des mécanismes bioénergétiques dans la biologie et la guérison. Ce ne sont pas les gènes qui gouvernent nos cellules mais bien « le Champ » qui nous entoure et nous pénètre ! Mais qu’est-ce que ce « Champ » ? Comment influence-t-il notre corps ?

C’est dans cette aventure que nous emmènent le Dr. Rupert Sheldrake concepteur de la théorie des champs morphogénétiques, le Prof. Fritz Albert Popp, découvreurs des Biophotons, ou encore le Dr. Bruce Lipton, le guérisseur et praticien de la Reconnexion Eric Pearl et bien d’autres…

De la physique quantique à l’influence de nos pensées, de nos intentions et de nos croyances sur notre santé, de la cohérence cardiaque au concept de champ corporel humain, The Living Matrix explore de manière synthétique et claire des idées passionnantes et novatrices au sujet de la santé.


Des témoignages de guérisons spectaculaires et des animations 3D viennent compléter ce film qui participe magnifiquement au changement de paradigme qui se produit en ce moment dans le domaine de la santé et du soin.

Source 


Le Film Living Matrix

1ère partie




2ème partie




3ème partie 




4ème partie 




5ème partie




6ème partie







Bon Visionnage en VO 

Pour les vidéos publiées, elles apparaissent sur le blog et non dans les emails. 

A lire aussi 


Pour suivre les nouvelles publications de ce blog par e-mail, entrez votre email dans le formulaire ci dessous et recevez la newsletter de Intuition and Co et des surprises. 

Enter your email address:


Delivered by FeedBurner

lundi 24 juin 2013

La lettre de Paul Watson

La lettre de Paul Watson


Les Droits de l'Homme et la protection des Animaux sont des causes qui me tiennent à coeur. Sur mon autre blog, vous pourrez trouver des photos que je prends lors des manifestations. Des articles pour un monde meilleur avec des changements à la clé, au niveau écologique, politique et sociétale sont consultables. Je partage avec vous la lettre de Paul Watson qu'il a écrit le premier jour de l'Eté, et la nécessité de protéger les océans, la cause la plus importante selon lui, l'océan étant notre source de Vie. 





Le premier jour de l’été 2013




Le 21 juin 2013


Par le fondateur de Sea Shepherd, Paul Watson

Aujourd’hui, c’est le premier jour de l’été, et cela fait maintenant quatre saisons complètes que je suis en exil, sans pouvoir rentrer chez moi.

Cette année a été riche en évènements, mais ce qui est plus important, c’est qu’elle nous a beaucoup récompensés.

Les volontaires passionnés de Sea Shepherd ont sauvé 932 baleines pendant l’Opération Tolérance Zéro dans l’Océan Austral, y compris 50 rorquals communs, qui sont en danger d’extinction. Et nos volontaires ont sauvé des vies dans le monde entier, depuis Taiji au Japon jusqu’à l’Île de la Réunion dans l’Océan Indien, en passant par la côte brésilienne dans l’Atlantique sud et les Galapagos dans le Pacifique.

Beaucoup de baleineaux nés au printemps au large de l’Australie, de Tonga ou de la Nouvelle Zélande ont pu naître grâce à l’intervention de Sea Shepherd. C’est ce qui m’a apporté le plus de joie cette année.

Mais je pense que le plus gratifiant, c’est la prise de conscience croissante que Sea Shepherd Conservation Society n’est pas une organisation centralisée. C’est un mouvement global.

Ce que j’ai créé en 1977 est maintenant un mouvement qui vit de sa propre dynamique, avec des milliers d’hommes et de femmes pleins de passion et d’imagination, faisant ce qu’ils peuvent avec les ressources dont ils disposent pour défendre et protéger nos océans.

Et cela, nous le faisons sans violence et avec efficacité.

A bien des égards je pense que ce fut une bonne chose que, sous la pression japonaise, j’aie été obligé de m’exiler du mouvement que j’ai créé. Le résultat, c’est que je n’ai jamais vu autant de gens se lever dans le monde, s’engager dans des campagnes pour protéger toutes sortes d’espèces depuis les pouces-pieds et les concombres de mer jusqu’aux requins, aux tortues et aux baleines.

Une seule personne ou une seule organisation ne peuvent pas changer le monde, mais un mouvement qui vit et évolue en permanence, qui encourage les individus à agir, à lancer des campagnes et des idées et à mettre en œuvre leur courage et leur sens de l’initiative face aux forces de la destruction globale et océanique peut, lui, changer le monde.

Le mouvement Sea Shepherd est fort, il est global, il est en train de croître, et il continuera certainement à vivre sans moi.

Ces sociétés et ces gouvernements qui montrent tant de volonté de détruire la vie dans nos océans doivent comprendre qu’il y a des millions de gens qui vont défendre les espèces et les habitats en danger, protégés et menacés.

Nous continuerons à nous battre contre les baleiniers, les tueurs de phoques, les braconniers de tortues et de poissons, ceux qui tuent les requins pour prendre leurs ailerons ou qui polluent les mers, devant la justice et devant les médias.

Le mois dernier, Jairo Mora Sandoval, un jeune défenseur de la nature protégeant les tortues de mer au Costa Rica, a été assassiné brutalement. Il n’avait que 26 ans. Comparé à ce sacrifice, mon exil et les procédures judiciaires en cours contre nous sont relativement mineurs.

Ils peuvent prendre nos biens, notre argent, notre liberté, mais ils ne peuvent pas nous enlever notre passion et notre dévouement pour la défense de la vie et de la diversité dans les océans. Et s’ils prennent nos vies, comme ils l’ont fait pour Jairo, nous devons leur faire savoir que nous sommes prêts à mourir pour défendre la vie et la diversité dans les océans.

C’est une affaire sérieuse. Défendre la diversité dans les océans est la cause la plus importante de la planète. Plus importante que de soigner le cancer, ou de vaincre le terrorisme, plus importante que tout ce que nous pouvons imaginer, parce que l’océan est à la base de notre vie, et que sans l’océan nous mourrons, tous.

Et c’est pour cela que c’est un mouvement qui transcende toutes les différences culturelles, sociales ou politiques, car il nous concerne tous, même ceux qui sont trop ignorants des choses de l’environnement pour comprendre la toile fragile des vies interdépendantes qui maintient tout le système global de la vie.

Si, au cours du siècle dernier, des millions sont morts dans des guerres pour défendre la propriété privée et les puits de pétrole, je pense que tout risquer pour défendre l’avenir de la vie dans les mers et donc notre propre survie est bien plus noble.

S’il y a un seul message que j’ai tenté toute ma vie de transmettre, c’est simplement celui-ci : si les océans meurent, nous mourrons !

C’est un mouvement pour la vie et un mouvement contre la mort, un mouvement pour l’avenir et contre la rapacité et les visions à court terme.

Tout ce que nous faisons a des effets, positifs ou négatifs, sur l’avenir, et l’avenir de tous les gens et de tous les animaux encore à naître est déterminé par nos actions.

Et en ce qui concerne ma situation personnelle, je suis libre en mer, et cela n’a pas été désagréable. En fait cela a été une vraie aventure. J’ai traversé trois océans jusqu’à l’autre bout du monde, sans papiers ni tracasseries. J’ai pu nager avec les requins et les tortues, observer les baleines, les dauphins et les albatros, voir chaque jour le soleil se lever et se coucher, sentir le vent dans mes cheveux et le goût du sel sur mes lèvres.

Je ne me suis jamais senti si merveilleusement vivant qu’au cours de l’année qui vient de s’écouler. J’ai des amis et des sympathisants, une famille qui me soutient, et aussi des ennemis pour me garder fort et vigilant.

En résumé, j’ai tout ce dont j’ai besoin pour être heureux et en sécurité. Cela me laisse aussi du temps pour écrire.

Demain sera le jour de l’année où la lune est le plus proche de la terre. La nuit, la galaxie fait tourner des dizaines de milliers d’étoiles à travers le ciel. Chaque jour révèle de nouvelles formes de nuages, et de nouvelles expériences avec les vents et la météo. La vie est merveilleuse et c’est un trésor qu’il faut apprécier jour après jour.

Alors, à vous tous, guerriers Sea Shepherd du monde entier, tout ce que je peux vous dire, c’est que vous faites un job incroyable pour défendre la vie dans les océans et sur la planète. Même si je ne peux pas être avec vous, si je ne peux pas vous parler directement, je suis, et serai, toujours, avec vous tous.


Traduction du texte sur la photo : « Rappelez-vous, toujours, que le propre d’un guerrier est d’agir. Ne vous laissez pas intimider par la force formidable de l’opposition. Ne vous laissez pas démoraliser par des prédictions pessimistes. Un vrai guerrier doit se réjouir face au défi, et transformer l’impossible en possible. Puisque vous vivez en ces temps difficiles, c’est votre devoir d’affronter les situations créées par l’ignorance et l’indifférence humaines, et d’agir par amour de l’avenir, et de tous les enfants, de tous les enfants de toutes les espèces. Paul Watson»