dimanche 25 mars 2012

Etendre sa compassion pour toutes les créatures



"L'etre humain est une partie du Tout appelé "univers", une partie limitée par le temps et l'espace. Par une sorte d'illusion visuelle de la conscience, il perçoit ses pensées et ses sentiments comme séparés du reste. Cette illusion est un genre de prison qui nous enferme dans nos désirs personnels et restreint notre affection à quelques personnes proches de nous. Nous devons nous libérer de cette géole en élargissant le cercle de notre compassion jusqu'à ce qu'il comprenne toutes les créatures vivantes et la nature dans toute sa beauté." Albert Einstein

jeudi 15 mars 2012

La vision de l'Intuition



L'intuition peut développer la Conscience à l'Infini. Nous avons deux yeux visibles et de multiples yeux invisibles, nous pouvons voir à 360° comme le lapin ou comme la mouche, et plus encore, ce n'est pas de la science fiction, c'est naturel et poétique. Le mystère de l'Etre et de la Conscience a été refoulé par les sociétés matérialistes, mais l'Esprit fait sa Révolution car l'Esprit imprègne tout et ne peut pas être ignoré par ses créatures. Si la Nature a donné cette vision à la mouche, que dire de la vision de l'Humain ?!

Grâce à l'intuition, nous pouvons devenir n'importe qui et n'importe quoi. Desfois dans les consultations, je peux devenir l'autre pour mieux capter ces problèmatiques et ces questionnements. Nous pouvons aussi incarner un animal, un arbre et entrer en communication avec eux, en nous mêmes. Après ce travail, il est important de se retrouver consciemment connecté avec notre être, dans son meilleur état d'être pour ne pas faire sien la Vie de l'autre. De nombreuses personnes sensitives sont comme des éponges, elles prennent tout ce qu'elles croisent et oublient de se recentrer. Se recentrer le plus souvent possible jusqu'à ce que cela devienne une seconde nature de le faire, est très important pour développer nos capacités. La présence à soi-même, la présence à son corps est fondamental. L'idée n'est pas de s'évader dans un lieu en dehors de soi, car le mental s'en donnera à coeur joie, l'idée est d'habiter entièrement sa demeure, son corps, de s'incarner ici et maintenant, et c'est dans ce centre, ce point précis que nous avons accès à la sagesse de l'Esprit.

Quand la nature sauvage est notre alliée et notre maître, nous ne voyons pas avec deux yeux mais avec les yeux multiples de l'intuition. L'intuition fait de nous un ciel étoilé qui observe le monde avec des millions d'yeux. La femme indomptée connaît le langage du rêve, les images, la passion et la poésie. Clarissa Pinkola Estes

photo : Musca domestica. By Charles Lam. Licence


Dernières nouvelles du Blog Intuition Kalunga

Elu chouchou de la semaine sur le fameux blog Les chemins de l'Intuition de plus un article sur l'importance d'écouter son intuition. Merci l'Intuition !

Les chemins de l'Intuition

http://lescheminsdelintuition.com/pourquoi-il-est-important-decouter-notre-intuition/

Médiums : D'un monde à l'autre

Sur la médiumnité, un film réalisé par Denise Gilliand


 
 
Le thème

Qu'est-ce que la mort ? Avons-nous une âme ? Depuis toujours, l'humanité cherche des réponses. Mythologies, religions, sciences ou philosophie apportent leurs interprétations. La vie s'arrête-t-elle à la mort cérébrale, à l'arrêt irréversible des fonctions vitales ? Comment savoir s'il ne s'agit que d'un passage vers une autre vie, de la séparation de nos corps physique et spirituel ? Aujourd'hui, dans nos sociétés affranchies de dogmes collectifs, des millions de personnes sont convaincues d'avoir eu un contact avec l'au-delà d'une manière ou d'une autre. En Suisse, selon les auteurs de La nouvelle Suisse religieuse (2009), 33% des personnes sondées croient en la réincarnation, 45% approuvent le parareligieux comme les croyances aux guérisons miraculeuses, 30% considèrent le spiritisme comme vraisemblable.

Qui pouvait croire, avant le XXème siècle, qu'il serait possible de se parler à distance, dans un appareil fixe ou mobile, de regarder des images de l'autre bout du monde sur un écran télévisuel, de tchater sur un portable ? Peut-être, un jour, nous paraîtra-t-il à nouveau banal, comme c'était le cas dans nos sociétés autrefois, de communiquer avec des esprits. Et puisque le travail d'un médium consiste, disent-ils, à faire le lien entre le monde des vivants et celui des esprits, explorer cette pratique ramène à la question existentielle qui nous touche tous profondément: survivrons-nous à notre propre mort ? Comment ne pas s'y intéresser ? L'enjeu est tellement important: La mort n'est-elle pas notre avenir à tous ?

Notre démarche
Par Denise Gilliand et Alain Maillard

Cinéaste et journaliste: l'une manie la caméra, l'autre la plume. L'une travaille par immersion bienveillante, l'autre cherche la distance objective. C'est la troisième fois que nous collaborons sur un même sujet jouant de cette complémentarité. Le thème de l'après-vie nous passionne tous deux depuis toujours: le journaliste motivé par une curiosité insatiable, la cinéate par un questionnement quasi inné sur le sens de la vie.

Pour un documentaire sorti en 2001, « Aux frontières de la mort », nous avions recueillis de nombreux témoignages de personnes affirmant avoir quitté leurs corps, et convaincues de l'existence d'un autre monde. Certains de ces témoignages en donnent des indices troublants, par exemple quand des personnes se souviennent de choses qui se sont passées ou qui ont été dites alors qu'elles étaient en état de mort clinique, l'électroencéphalogramme plat.

La conscience serait donc dissociée de notre cerveau. Si notre mémoire, notre esprit fonctionnent dans l'immatériel, il n'y a qu'un petit pas à franchir pour envisager une possible communication par télépathie entre deux esprits, qu'ils soient ceux de personnes vivantes ou mortes.

Ce questionnement, nous a naturellement amené à nous intéresser au monde des médiums. Sans a priori philosophique ou religieux, ce film et ce livre leur donnent la parole, les observent et les mettent à l'épreuve. A travers portraits et expériences, ils proposent une exploration sans jugement de l'univers des médiums contemporains.

Dans le film, pour faire découvrir au public ce qu'est la médiumnité, nous voulions assister à des séances en direct. Et nous voulions confronter des scientifiques à la pratique médiumnique, plutôt que leur demander un avis sur quelque chose qu'ils n'ont jamais expérimenté. Nous avons donc cherché un médium prêt à accueillir en séance de contact avec l'au-delà, devant notre caméra, des clients et des scientifiques qui n'y croient pas. Céline Boson Sommer, médium et guérisseuse à Martigny, dans les Alpes suisses, a accepté de relever ce défi.

Le film l'accompagne aussi dans son quotidien et dans des séances de "guérison spirituelle". Nous rencontrons avec elle des médecins ouverts à l'inexpliqué, ainsi que deux experts en communication avec l'au-delà. Nous découvrons avec elle l'étonnante "université" de la médiumnité en Angleterre.

Le livre prolonge le film. Il est essentiellement fondé sur les retranscriptions des entretiens enregistrés devant la caméra, propos complétés par quelques recherches et lectures diverses. Il introduit un autre personnage: Hannes Jacob, fondateur de l'Ecole suisse de médiumnité, la seule école de ce type dans le monde francophone. Il propose aussi la restitution de scènes filmées qui ne figurent pas en entier dans le film. En particulier, deux séances – de contact et de transe – sont intégralement reproduites. Des expériences en médiumnité physique sont également restituées: enregistrement de voix par radio, planche Ouija, tables tournantes.

Le livre peut être lu sans avoir vu le film, et vice-versa. Mais ils sont conçus pour être complémentaires. Ils veulent donner à ressentir et à réfléchir.

Source :
http://www.mediums-lefilm.com/fr/demarche.php

mardi 13 mars 2012

Quand la Tradition rejoint le monde du Rêve, par Moebius




Il suffit d’étudier un peu l’ésotérisme chrétien, pour s’apercevoir que tous les rituels sont truffés de micromessages qui, une fois dépliés, s’avèrent d’immenses symboles éternels, remontant, encore une fois, aux temps " chamaniques ". C’est ce que Guénon appelle la Tradition, qui représente l’ensemble des découvertes que l’humanité a faites à l’époque où tous ses " savants ", ses " hommes de connaissance ", ses " génies " focalisaient toute leur énergie et leurs milliards de neurones sur la perception et la description des relations entre le visible et l’invisible - et ceci à une échelle planétaire, puisqu’en ces temps-là, la séparation entre les mondes n’existait pour personne. Pour eux, la question de la mort et du passage, la nature du rêve et du corps de rêve, la voyance et le don d’ubiquité, tout cela faisait l’objet d’études hyper-intenses. Et je crois que Carlos Castaneda a raison de penser que le grand problême est venu de la collusion entre cette connaissance et le pouvoir organisé à grande échelle, le pouvoir d’Etat, qui a remplacé un autre " Etat " collectif, mais beaucoup plus vivant et plus libre, qui était constitué par le réseau mondial des rêveurs et de leurs onirismes. Les Etats, au sens moderne, ont détruit le vaste filet des corps de rêve en pleine action, tout en essayant d’en détourner le pouvoir.

J’ai eu ma période très écolo, et j’avoue que j’ai abandonné parce que ça devenait trop déprimant. 80 % des terres européennes sont prisonnières d’une folle fuite en avant technologique - à moins de les mettre en jachère pendant trente ans, elles sont condamnées. Cela dit, au fond de mon pessimisme et de mon désespoir, je me dis que nous allons vers une redécouverte de toute la nature, notamment par le biais des virus et des bactéries, qui seront à la base d’une nouvelle agriculture, d’une nouvelle technologie et d’une nouvelle économie. En fait, j’envisage avec un égal intérêt un éventuel retour de la lampe à pétrole et un grand bond en avant vers des technologies de plus en plus sophistiquées. C’est d’ailleurs une attitude générale chez moi : l’avenir le plus futuriste me passionne, mais jamais autant que lorsqu’il s’enracine dans un passé lointain. Aujourd’hui, si nous apprécions le bouddhisme tibétain, c’est parce qu’il prend sa source, quoi qu’on en dise, dans des formes chamaniques très anciennes - alors que son côté dogmatique et clérical me fatigue. Par contre, je me méfierais presque du bouddhisme zen, parce que sa modernité le rend facilement commercial...

Nous rêvons le monde à venir. Il me semble que, quel que soit l’angle d’approche, les artistes sont aux avant-postes. L’activité artistique, qu’elle soit musicale, littéraire, plastique... est en soi la mise en action d’un état de rêve lucide. Ainsi, dès que nous nous retrouvons devant une page blanche, un carré vide, un bout de papier nu, nous avons mis au point, en quelques siècles, un réflexe conditionné de mise en état de rêve - qui permet de passer du monde tridimensionnel de la perception, au monde bidimensionnel de la représentation.

Et de nouveau nous voilà confrontés à la loi de la réduction, voire de la privation sensorielle, qui semble indispensable à la transformation en mots de la réalité brute - en soi inaccessible, ineffable, divine... Comme si le divin devait forcément se réduire pour devenir accessible à l'homme et que nous, curieusement, nous devions nous réduire aussi, pour accéder au langage.

Et le simple fait de regarder le monde - de lui faire traverser la grille sélective de nos sens - est déjà, en soi, de l’art. Transformer le flux ininterrompu des perceptions en concepts et en mots, puis en "je", en "moi", est une création. Le monde se crée en permanence.


Moebius

Source et l'interview en entier :
http://www.cles.com/debats-entretiens/article/une-matinee-avec-un-aventurier-de-l-esprit

Conscience et Cannabis, par Moebius


J’ai utilisé le cannabis comme un outil de travail, à doses homéopathiques. Je fumais des herbes naturelles, ni traitées ni poussées. Une inhalation, même légère, me branchait sur une autre perception du monde, de moi-même, de mon réservoir émotionnel, de mots et de références. Ma relation au cannabis est particulière : j’ai été initié au Mexique en 1956 par des artistes qui m’ont transmis une sorte de cahier des charges : n’utiliser l’herbe que pour se transcender et surtout ne jamais mettre en danger son intégrité personnelle. Je ne me suis jamais trouvé dans une situation de dépendance. Je me désolidarise totalement de la manière, profane et perverse dont la fumette s’est répandue dans les sociétés occidentales. Voir des copains s’allumer des pétards le matin au réveil fut le signal de la dérive. Je me suis dit : “Mince, on sort du sacré !” Le cannabis est un maître un peu cruel, puissant et dangereux, il faut s’en approcher avec beaucoup de précautions et de méfiance.

Moebius

Source - Moebius : interview d'un dessinateur mutant, propos recueilli par Clarisse Bouillet et Anne-Claire Norot pour lire la suite, cliquez ci-dessous :

http://www.lesinrocks.com/livres-arts-scenes/livres-arts-scenes-article/t/79893/date/2012-03-12/article/moebius-jean-giraud-entretien-2010/





Je rends Hommage à cet immense artiste et humble artiste qui disait de lui "je ne suis qu'un dessinateur."


Il nous a quitté le 10 mars 2012 à l'âge de 73ans. Dessinateur de bande dessinée formidable, mage du dessin, maitre d'art et d'esprit poétique, voyageur de l'imaginaire et explorateur de la conscience.

Merci Moebius pour ton Oeuvre


Bon voyage au pays des Etoiles


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lundi 5 mars 2012

Est ce que l'Intuition se situe dans le cerveau droit ?




Par Intuition and Co

Q : Est ce que l'Intuition se situe dans le cerveau droit ?

R : L'intuition se situe partout, non pas spécialement dans le cerveau droit. elle met en action diverses parties du cerveau et le corps a sa propre intelligence intuitive de la tête au pied. Bien que le cerveau droit soit réputé pour l'intuition, l'imagination, la globalité, la poésie, l'Intuition se trouve aussi ailleurs et au-delà du corps et elle a besoin des deux hémisphères pour s'exprimer Elle se trouve dans le Coeur et dans l'Esprit.

D'autant plus que le cerveau fonctionnerait comme un emetteur-récepteur avec sa vie autonome s'occupant de certaines fonctions du corps en collaboration étroite avec le coeur ! chaque organe de notre corps a aussi sa propre intuition.

"L’intuition m’est venue qu’au niveau le plus élémentaire, j’étais un fluide. Tout,
autour de nous, et en nous, se compose de particules atomiques en mouvement.
Libéré des entraves que lui imposait le mode ordinaire de perception de mon
hémisphère gauche, mon hémisphère droit a exulté de se découvrir associé au
flux de l’éternel. Je ne me sentais plus isolée ni seule au monde. Mon âme en
expansion atteignait les dimensions de l’univers entier en s’ébattant allègrement
dans un océan sans bornes." Jill Bolte Taylor

Pour écouter le témoignage de Jill Bolte Taylor, suite à son AVCen vidéo :
http://intuitionkalunga.blogspot.com/2009/09/la-puissante-introspection-de-jill.html

jeudi 1 mars 2012

Ecouter son intuition et choisir la cohérence



Incohérence du monde quand les ficelles du mental le dirige, quand les ficelles du sans-coeur l'anime, désaccordé ici, bien accordé là-bas avec une musique des sphères qui libère les faux pas de la bétise engendrée par l'humain en manque de foi et en manque de respect de la vie. Heureusement la cohérence se fait entendre, les coeurs s'ouvrent et les esprits s'illuminent. Celui qui se recueille et prie dans sa chambre sincèrement, se reliant à l'humanité s'élève et l'élève. Pour changer le monde, être dans la cohérence, ne pas faire ce avec quoi je ne suis pas d'accord, écouter le coeur et l'esprit, écouter la voie de sa conscience, être aligné avec la colonne vertébrale de l'être. Sourire à la Vie, tout s'arrange.