vendredi 12 octobre 2012

Le paradis existe, un neurologue sceptique en revient !


Eden Alexander est un neurochirurgien américain reconnu, professeur de neurologie à l'université d'Harvard et de Virginie, qui ne croyait pas une seule seconde aux balivernes des personnes racontant leur expérience de vie après la mort en sortant du coma.
Mais un jour de novembre 2008, il tombe dans le coma après avoir été frappé par une méningite foudroyante.
Après une semaine passée dans un coma profond où son cerveau ne donnait aucun signe d'activité, l'homme se réveille et raconte sa propre expérience, une « odyssée lumineuse et parfaitement cohérente ».
L'homme en a même fait un livre, Proof of heaven (Preuve du paradis), dans lequel il décrit son voyage au paradis et l'hebdomadaire Newsweek en fait sa Une et un long article.
Le médecin raconte : « au début de mon odyssée, je me suis retrouvé dans un endroit rempli de gros nuages roses et blancs
[…] . Bien au-dessus de ces nuages, des êtres chatoyants se déplaçaient en arc de cercle dans le ciel, laissant de longues trainées derrière eux. Des oiseaux ? Des anges ?[…] Aucun de ces termes ne fait vraiment justice à ces êtres qui étaient différents de tous ce que j'avais pu voir sur terre. Ils étaient plus avancés. Des êtres supérieurs ». Il relate également sa rencontre avec une femme : « elle était jeune, je me souviens d'elle dans les moindres détails. Elle avait des pommettes hautes, et des yeux incroyablement bleus ainsi que des tresses châtains qui encadraient son beau visage ». Il explique qu'ils se déplaçaient tous les deux sur les ailes d'un papillon. « En fait, des millions de papillons nous entouraient[…] . C'était comme une rivière de vie et de couleur se mouvant dans les airs ». Si cela ressemble à une grosse hallucination, le neurochirurgien reste quelqu'un de très crédible et a annoncé vouloir passer le « reste de sa vie à enquêter sur la nature véritable de la conscience, et prouver à ses pairs scientifiques mais aussi au reste du monde que nous sommes bien plus que seulement nos cerveaux ».

Un article de la dépêche, source :

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